ISPA valorise l’année post-bac depuis plus de 30 ans. Une vision que le gouvernement commence aujourd’hui à partager.
Depuis trois décennies, ISPA fait de l’année postbac un levier d’avenir pour les jeunes. Que cette conviction soit aujourd’hui reprise par les plus hautes sphères de l’État est une nouvelle que nous accueillons avec enthousiasme — et avec la certitude que c’est une voie prometteuse pour repenser l’orientation des jeunes Français.
Le gouvernement mise (enfin) sur l’année de césure
Ce mercredi 4 juin 2025, la Première ministre Élisabeth Borne a déclaré vouloir « valoriser l’année de césure après le baccalauréat » pour encourager une orientation plus mûrie, plus réfléchie et plus en phase avec les aspirations réelles des jeunes. L’objectif ? Lutter contre le décrochage en études supérieures, éviter les erreurs d’orientation, et permettre à chacun de construire un parcours choisi, non subi.
Cette annonce s’inscrit dans un plan global de réforme de l’orientation, qui comprend aussi la simplification de la procédure Parcoursup et une meilleure information sur les débouchés. Mais l’année de césure à l’étranger est sans doute le signal le plus fort envoyé aux jeunes et à leurs familles : on leur dit enfin qu’il est possible – et même bénéfique – de prendre le temps de se découvrir, d’explorer, de sortir du cadre avant de faire un choix d’études supérieures.
Chez ISPA, nous ne pouvons que saluer cette décision. Car cela fait plus de 30 ans que nous en sommes convaincus : l’année post-bac peut changer une vie.
Une année pour respirer, s’ouvrir et choisir en conscience
L’année de césure, encore appelée « gap year », a longtemps souffert en France d’une mauvaise réputation : perçue comme une perte de temps, un luxe réservé à une élite ou un signe d’indécision. Pourtant, les chiffres et les témoignages sont clairs : prendre une année pour soi, loin des bancs de l’école, permet de revenir plus motivé, plus sûr de son orientation et plus engagé dans ses études.
Surtout lorsqu’elle se déroule à l’étranger.
Partir vivre quelques mois à l’étranger dans le cadre d’un séjour encadré ou semi-autonome, c’est bien plus qu’un voyage. C’est une expérience de transformation.
Pourquoi une année de césure à l’étranger est un vrai plus ?
1. Développer son autonomie
Quitter son cadre habituel, apprendre à gérer son quotidien, prendre des décisions… Loin de ses repères, on apprend très vite à se connaître, à s’adapter, à s’organiser. C’est un vrai tremplin vers l’âge adulte.
2. Booster son niveau de langue
En immersion totale, l’apprentissage des langues devient naturel et rapide. Que ce soit en famille d’accueil, en école de langue ou dans une entreprise locale, on progresse chaque jour. Un véritable atout sur un CV.
3. Mieux se connaître et affiner son projet
Quand on sort du rythme scolaire imposé, on a enfin le temps de réfléchir à ce que l’on veut vraiment. Certains jeunes reviennent avec une idée de métier, d’autres avec la certitude de vouloir continuer leurs études à l’étranger. Tous reviennent avec une meilleure connaissance d’eux-mêmes.
4. Valoriser son profil
Les recruteurs et les écoles valorisent de plus en plus les parcours atypiques. Une année de césure bien construite, avec un objectif clair, prouve qu’on sait prendre des initiatives, sortir de sa zone de confort, et s’investir dans un projet.
5. Vivre une expérience humaine forte
C’est aussi une aventure humaine. On rencontre des jeunes du monde entier, on tisse des liens, on découvre d’autres cultures, on élargit sa vision du monde.
ISPA, pionnier de l’année de césure à l’étranger
Depuis plus de 30 ans, ISPA accompagne les jeunes de 16 à 25 ans dans la construction de leur année de césure à l’étranger. Nous croyons profondément que cette période peut être l’une des plus formatrices d’une vie. C’est pourquoi nous avons développé des programmes sur mesure, adaptés à chaque profil, chaque envie, chaque niveau.
Parmi nos formules les plus plébiscitées :
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Les semestres ou années de langue intensive, pour progresser rapidement et obtenir une certification reconnue.
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Les séjours en université étrangère, pour vivre une première expérience académique internationale.
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Les expériences en volontariat ou stages non rémunérés, pour s’impliquer dans un projet concret et utile.
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Les séjours culturels en immersion, pour se découvrir à travers l’autre.
Nos destinations ? États-Unis, Canada, Australie, Espagne, Angleterre, Irlande, Italie, Malte… Avec, à chaque fois, un accompagnement individualisé et un cadre sécurisé.
Une approche reconnue, enfin soutenue
Ce que le gouvernement souhaite promouvoir aujourd’hui, ISPA le fait depuis toujours : proposer aux jeunes une année de respiration, d’ouverture et de réflexion, avant de se lancer pleinement dans leurs études. Nous sommes heureux que cette approche soit enfin reconnue comme essentielle par l’État, et qu’elle puisse être rendue accessible au plus grand nombre.
- Parce qu’il n’y a pas une seule voie vers la réussite.
- Parce qu’apprendre peut aussi passer par le voyage, l’humain, la découverte.
- Parce qu’un jeune bien orienté est un jeune confiant, motivé, et engagé.
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